En à peine trois mois de mandat, Donald Trump a ravivé les tensions commerciales mondiales. Et les secousses sont majeures : hausse généralisée des droits de douane sur les produits chinois et européens, recul (provisoire ?) de la mesure sur les produits européens, tarif douanier universel de 10 %…
Résultat, les marchés boursiers jouent au yo-yo. Le CAC 40, le DAX et le Nasdaq ont accusé plusieurs baisses avant de redresser la barre, tandis que les rendements obligataires américains sont remontés à 4,65 %, reflétant les craintes inflationnistes.
L’euro, lui, s’est légèrement apprécié, les investisseurs voyant la Banque centrale européenne (BCE) comme plus prévisible que la Fed. L’environnement économique mondial redevient instable… et imprévisible.
Depuis fin 2023, les taux baissent en France. Le recul de l’inflation a amené la BCE à mettre de côté sa politique agressive de hausse des taux, passés de 1% à 4,50 % en 18 mois ! En avril 2025, les taux moyens du crédit sur 20 ans atteignent 3,25 %, et descendent même jusqu’à 3,05 % pour les meilleurs profils. Les taux obligataires (OAT 10 ans) restent quant à eux stables, autour de 2,63 %,
Malgré un environnement fragile, cette baisse se poursuit. Les banques cherchent à relancer la production de crédit, après un fort ralentissement en 2023-2024. L’inflation en zone euro reste modérée (2,4 % en mars), ce qui renforce la perspective d’un premier abaissement des taux directeurs de la BCE en juin. La Banque centrale européenne reste en effet pour l’instant sereine.
Christine Lagarde, sa présidente, a confirmé ce 10 avril que la BCE maintenait son cap d’une nouvelle baisse de taux « probablement en juin », sauf choc majeur.
La BCE observe néanmoins avec prudence les tensions commerciales internationales, les fluctuations brutales des marchés américains et l’éventuel rebond inflationniste mondial que pourrait provoquer une politique budgétaire très expansionniste côté américain. Si elle ne réagit donc pas (encore) aux secousses Trump, l’Europe surveille de près la situation. Et continue de prendre pour seule boussole la stabilisation de l’inflation européenne, sans se laisser dicter le tempo par les secousses venues des États-Unis.
Ces prochains mois, une nouvelle vague protectionniste américaine pourrait raviver les tensions inflationnistes mondiales. Une hausse brutale des coûts d’importation pourrait impacter les prix de l’énergie ou de certains matériaux… et donc peser indirectement sur les conditions de crédit. Nous n’en sommes pas là.
Actuellement, toutes les conditions restent réunies pour emprunter dans de bonnes conditions : taux bas, en baisse constante depuis fin 2023, banques plus ouvertes au crédit, pouvoir de négociation accru pour les profils solides. Le conseil de Courteam aux candidats à l’emprunt : agir sans précipitation, mais sans trop attendre.
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